Le numérique va-t-il devenir un danger pour les plus précaires d’entre nous ? Une question auquel répond en partie, et de manière inquiétante, ce rapport qui émane des Nations Unies.
« Ce rapport illustre concrètement ce qui est en jeu en matière d’aide sociale publique quand la gestion de celle-ci est largement confiée par l’État à des systèmes autonomes développés par les acteurs privés de la technoscience. Il arrive un moment où de nombreuses voix s’élèvent pour une éthique du numérique et pour une réglementation de ses utilisations ; à court terme, il plaide clairement en faveur de l’établissement ou du maintien de contrôles humains sur de tels systèmes. » écrit Jean-François Soupizet dans la revue Futuribles.
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